mercredi 23 décembre 2009

Peinture des fêtes du fond du coeur

En cette saison de gratitude, l’équipe de Rideau vous remercie pour votre amitié et votre soutien.

Nous souhaitons que le présent soit des plus joyeux et que le passé soit empreint de doux souvenirs.

Nos plus chaleureuses pensées vous accompagnent pour des fêtes formidables et une très bonne année.

lundi 21 décembre 2009

E Pluribus Unum

Nous avons tous vu les mots…sur les pièces de monnaie, sur le Grand sceau des États-Unis.

Vous connaissez peut-être la signification de ces mots, mais moi non. (Mes excuses à mes enseignants…mais cinq années de latin ne m’ont pas suffit !)


C’est tout récemment que j’ai appris ce que ces mots signifiaient ...E Pluribus Unum ~ “Un à partir de plusieurs”.

Quelle belle pensée...surtout pendant la saison des fêtes.

Peu importe où nous vivons, notre apparence, nos croyances…nous sommes tous importants et notre monde…notre seul monde en est plus riche.

Joyeuses fêtes !

vendredi 18 décembre 2009

Mon ami Mark!

Le compliment qui nous aide dans notre cheminement n’est pas celui qui dort dans l'esprit mais celui qui est exprimé.
- Mark Twain: A Biography

mercredi 16 décembre 2009

Reconnaissance du fond du coeur

Employeurs Web a publié mon nouvel article sur la formation des employés. Cliquez ici pour en apprendre davantage sur comment utiliser le potentiel de vos employés ainsi que comment accroître l'engagement et la loyauté de ceux-ci.

lundi 14 décembre 2009

Dire merci, ça s'apprend!

J’ai récemment eu l’honneur de prendre part au 1er colloque international sur la reconnaissance au travail de VPHR organisé par son fondateur, M. Christophe Laval. L’auteur Ruben Chaumont, qui était également présent, a écrit cet article dans L'Expansion qui aborde quelques points intéressants dont il fut question dans le cadre de ce colloque sur l’importance de la reconnaissance au travail.

Bonne lecture sur la reconnaissance !

vendredi 11 décembre 2009

Peinture du fond du coeur

Une marche en hiver par Peter Hart

Constituer un capital sociétal

Vous désirez en apprendre davantage sur la constitution d’un capital sociétal au travail ?

Venez rencontrer mon bon ami Steven Green, le 16 décembre 2009, à 14 h (HNE), pour un webinaire à Real Engagement de Pollstream. Le thème retenu pour ce webinaire sera « constituer un capital sociétal au sein de votre organisme ».

Betsy Pasley de USAA et Ericka Webb de Best Buy prendront part à ce webinaire. Ces deux conférencières en profiteront pour vous faire part de leurs exemples concrets pour tirer profit du capital sociétal au sein de votre organisme et brillamment enrichir une culture qui attire tant les employés que les clients.

Il s’agira d’une occasion en or de connaître de première main de quelle façon les entreprises ont recours aux mêmes logiciels sociaux que vous pour solliciter, sensibiliser et informer votre auditoire. Vous êtes cordialement invité à y participer. Pour vous inscrire, cliquez ici.

Au plaisir de vous y voir le 16 décembre !

lundi 7 décembre 2009

Qu’est-ce qui a vraiment tué Van Gogh ?

Il y a quelques années j’ai visité le musée Van Gogh à Amsterdam.

J’ai visité plusieurs musées mais celui-ci était très spécial car j’aime beaucoup les magnifiques œuvres colorées de Vincent Van Gogh.

Van Gogh n’a peint que pendant environ dix ans. Au cours de sa vie il créa environ 2 000 œuvres. Il peignait rapidement avec grande passion et la plupart de ses œuvres connues ont été produites durant ses deux dernières années de vie.

Plusieurs de ces chefs d’œuvres sont exposés au musée en ordre chronologique. On y constate que son œuvre devint de plus en plus colorée jusqu’à son tragique suicide en 1890.

Tandis que je feuilletais quelques titres à la librairie du musée, j’ai mis la main sur le livre de Martin Gayford intitulé « The Yellow House: Van Gogh, Gauguin, and Nine Turbulent Weeks in Provence » et je l’ai acheté pour mon épouse Francine qui n’était malheureusement pas avec moi. Nous avons beaucoup aimé.

Plus tard, j’ai commencé à relire ce livre, une activité à laquelle je m’adonne souvent lorsque j’ai bien aimé certains livres… c’est comme visiter un vieil ami.

Tandis que je le lisais, j’ai commencé à penser aux leçons apprises au cours des dernières années sur la reconnaissance auprès de personnes très brillantes.

Une des conversations des plus intéressantes fut celle avec le professeur Jean-Pierre Brun à Paris en novembre dernier. Jean-Pierre était alors titulaire de la Chaire en gestion de la santé et de la sécurité au travail de l’Université Laval à Québec. Il travaille actuellement comme conseiller-expert pour Stimulus à Paris, une compagnie française dont les activités sont axées sur le stress et les problèmes en milieu de travail.

Les recherches de Jean-Pierre à l’Université Laval ont prouvé que le manque de reconnaissance était la deuxième plus grande cause de stress et d’épuisement professionnel. Lors de notre conversation, Jean-Pierre disait que les employeurs qui n’expriment pas de reconnaissance aux employés qui le méritent se font du tort.

Dans un article précédent, je disais qu’à mon avis, la reconnaissance ne devrait pas se limiter au milieu de travail. La reconnaissance devrait faire partie de notre quotidien.

Maintenant ramenez ça à l’époque de Vincent Van Gogh…

Pendant la plus grande partie de sa carrière, Vincent est demeuré dans l’anonymat et son œuvre ne fut jamais reconnue. On dit qu’il n’aurait vendu qu’une seule toile… « Le vignoble de vin rouge ».

Imaginez ! Une seule toile parmi plus de deux mille créées !
La seule véritable source de reconnaissance de Vincent vint de son frère cadet Théo. Ce dernier l’aida financièrement à travers toutes les épreuves. Mais Théo exprima sa reconnaissance par le biais de lettres puisqu’il habitait à Paris et Vincent à Arles en Provence. Vincent était réellement rejeté de la plus grande partie de la société et cette aliénation est tout le contraire de la reconnaissance.

Vers la fin de sa vie, Vincent fut de plus en plus en proie à des périodes de délire. Il en vint à se trancher l’oreille puis à se suicider.

Je me demande ce qui serait arrivé si l’œuvre de Vincent Van Gogh avait été appréciée et reconnue au cours de sa vie ?

Combien d’autres toiles auraient été exposées au musée Van Gogh ?

vendredi 4 décembre 2009

Mon ami Mark!

La forme d’un compliment n’a rien à voir avec sa valeur - c’est ce qui en ressort qui en fera de l’or ou une nullité. Celui-ci était de l’or. Il venait du cœur et j’ai découvert qu’un compliment exprimé du fond du cœur par un ignorant est aussi bon qu’un compliment judicieux, raisonné provenant d’une tête cultivée.
- "The Refuge of the Derelicts" publié dans Fables of Man

mercredi 2 décembre 2009

Dan Pink – Repenser l’approche de la carotte et du bâton

Un des mes sites préférés est TED.com .

TED veut dire “Technology, Entertainment, Design” (Technologie, divertissement, conception). Il s’agit d’un organisme qui débuta en 1984 et qui a su s’attirer la loyauté des gens car on y organise des conférences qui réunissent certaines personnes parmi les plus brillantes au monde qui doivent relever le défi de faire une présentation remarquable en 18 minutes !

Dan Pink, avocat de formation et ancien rédacteur de discours pour Al Gore est l’une des brillantes personnes ayant accepté de relever le défi TED. Il a fait une allocution TED l’été dernier à l’Université Oxford qui s’intitulait : “Rethinking the Ideology of Carrots and Sticks” (Repenser l’idéologie de la carotte et du bâton en milieu de travail).

Tous ceux oeuvrant dans le domaine de la reconnaissance et de l’encouragement devrait regarder le clip pour la simple raison que Dan y met en doute plusieurs croyances conventionnelles sur les programmes d’encouragement en milieu de travail. Fondamentalement, il dit qu’il y a un décalage majeur entre ce que les sciences sociales ont prouvé sur les primes extrinsèques ‘carottes’ et les pratiques des entreprises. Dan mentionne que les carottes peuvent entraver nos habiletés car nous nous concentrons beaucoup trop sur la prime au détriment du reste. En d’autres mots, les primes extrinsèques peuvent supprimer et déformer nos valeurs intrinsèques innées.

Vous entendrez parler davantage de ce sujet car Dan lancera un nouveau livre intitulé : “Drive: The Surprising Truth About What Motivates Us”. Il sera publié en fin décembre.

Dan croit que “Autonomy, Mastery and Purpose” (autonomie, maîtrise et but) sont les moteurs clés de la motivation intrinsèque. Je sais d’où il vient et je pense que Dan a souligné des points valables !

Nous avons besoin d’un nouveau paradigme qui va au-delà de l’approche traditionnelle de la carotte et du bâton. Quelque chose qui débloquera le catalyseur intrinsèque des employés et créera des environnements qui leur permettront de croître individuellement car lorsqu’ils grandissent, nos compagnies font de même.

lundi 30 novembre 2009

Wow - Max parle le mandarin !

Récemment nous avons annoncé que Max Brown CRP s’est joint à l’Institut de gestion de la reconnaissance, une filiale de Rideau à titre de Vice-président, Apprentissage organisationnel. Il a également récemment animé une webémission sur la HCI.

J’ai vu Max parler pour la première fois lors d’une réunion de la Recognition Professionals International (RPI) il y a plusieurs années. Sa présentation était persuasive et très motivante. Mais ce qui m’a le plus impressionné fut sa façon de parler de sa famille.

Il a commencé en parlant de ses parents...un couple vraiment remarquable qui a donné beaucoup à plusieurs. Ils ont eu 5 enfants (Max étant l’aîné) et en ont adopté 8 autres pour un total de 13 ! Ils ont aussi été une famille d’accueil pour 100 enfants pendant plus de 20 ans ! Extraordinaire !!! Max a ensuite parlé avec amour de son épouse Sally. Elle était présente en ce jour. Elle prenait place dans la première rangée côté gauche. Il fit souvent référence à Sally lors de sa présentation et nous pouvions constater que la présence de cette dernière signifiait beaucoup pour Max.

Je me rappelle avoir pensé que c’était un homme qui avait à cœur sa famille...une valeur que j’affectionne.

Ma première conversation avec Max eut lieu lors d’un autre événement de la RPI à Chicago. Max suivait les derniers cours pour devenir un professionnel agréé de la reconnaissance. Ça m’a aussi beaucoup impressionné. Il y a plusieurs “experts” qui parlent de la reconnaissance mais qui ne se soucient guère de devenir des professionnels agréés de la reconnaissance. Je sais que ce n’est pas grand chose mais ça m’embête. Max allait littéralement mettre en pratique ce qu’il prêchait.

Notre conversation devint plus personnelle. J’appris que Max était un alpiniste qui avait vécu à Shanghai, Chine et qu’il avait beaucoup voyagé en Asie et à travers le monde. J’ai découvert que Max était un scout aigle et que sa première expérience à titre de conférencier eut lieu alors qu’il avait 16 ans seulement ! Il a parlé à 6 000 scouts ! Il m’a dit que s’adresser aux gens, il avait ça dans le sang...son grand-père, son père, sa mère et un oncle avait tous ce don. Aujourd’hui Max et Sally ont deux magnifiques enfants. Drew qui a 15 mois et AnLi qui aura trois ans en janvier.

Jamais je n’oublierai le jour où j’ai fait faire le tour Platine de Rideau à Max.

Tandis que nous visitions la compagnie et présentions Max, mes collègues chinois ont eu toute une surprise lorsque Max a commencé à leur parler en mandarin. L’expression de leur visage était impayable... mais vous n’êtes pas Chinois !!! Que se passe-t-il ??? J'ai alors dit que j'aurais aimé avoir un appareil photo... et c’est ainsi que j’ai appris que Max était aussi un excellent photographe. Lorsqu’il m’a permis de peindre quelques unes de ses photos, l’entente fut scellée...sans question... il viendrait travailler pour notre groupe de compagnies !!!



Plus sérieusement, avec la venue de Max, je pense que Roy Saunderson forme tranquillement et méthodiquement un groupe de personnes qui feront de l’Institut de gestion de la reconnaissance un leader mondial en matière de consultation sur la reconnaissance des employés.

Bienvenue Max!

vendredi 27 novembre 2009

Peinture du fond du coeur



Le Jardin par Peter Hart

lundi 23 novembre 2009

Réseautage social en milieu de travail

Il n'y a pas trop longtemps, le Financial Post a publié un article intitulé : “Social Networking By Workers Not Without Cost To Employers” (Le réseautage social des travailleurs n'est pas sans coût pour les employeurs). L’article soulignait que les employeurs sont préoccupés par le fait que le temps passé par les employés sur Twitter et Facebook leur coûte de l’argent. On y citait un sondage estimant que le temps passé sur Twitter a entraîné une perte de productivité de 13,5 milliards de dollars américains en 2008.

Inutile de dire que l’article a provoqué de nombreux débats au sein de l’industrie de la reconnaissance et parmi les intervenants il y avait mon ami et collègue Steven Green de PollStream.

Voici les commentaires et pensées de Steven sur l’article original ainsi que les « pour » et les « contre » du réseautage social en ce qui concerne notre industrie :

Les enfants, baissez le son de cette musique rock’n’roll !
J’en suis venu à la conclusion que des groupuscules de l’industrie de la reconnaissance ont encore de la misère à faire la différence entre les avantages d’un logiciel social en général et les sites spécifiques tels que Facebook et Twitter.

Les outils qui permettent aux employés de dialoguer en ligne, de partager leur opinion avec des pairs, des leaders et des dirigeants transforment l’organisation. Avoir une organisation d’envergure signifie que vous avez des employés répartis dans différentes zones géographiques avec différents fuseaux horaires. Il est très difficile pour les gens de différents endroits de se connecter et d’en apprendre les uns sur les autres. En maximisant les outils en ligne, les employés peuvent plus facilement trouver et partager des ressources auprès des bonnes personnes en temps opportun.

Sabre Holdings a mis sur pied un site social qui permet aux gens qui ont des questions de se connecter avec les personnes de l’organisation les plus susceptibles de leur fournir les bonnes réponses. Les questions et réponses peuvent ensuite être partagées avec les autres qui en profiteront. De plus, les employés font connaissance, discutent de leurs habiletés, de leurs animaux domestiques et de toute autre chose qu’ils désirent partager dans leur profil en ligne. Les employés rencontrent ainsi des gens plutôt que de recevoir uniquement une réponse à leur question. Quels sont les avantages de connaître vos collègues ? N’importe qui de notre industrie peut fournir plusieurs réponses à cette question.

Le Conseil exécutif de l’entreprise a récemment terminé un rapport à grande échelle intitulé : Mobilizing the Workforce: Enable High-Impact Communications Across the Workforce (La mobilisation de la main-d’œuvre : Faciliter les communications à impact majeur pour les travailleurs). C’est un excellent rapport qui fait partie de la série What The Best Companies Do (Que font les meilleures compagnies). La conclusion est que les outils facilitant les échanges entre collègues s’avèrent les plus efficaces pour améliorer la satisfaction et l’engagement des employés. Le rapport renferme davantage évidemment, mais parmi les 7 compagnies qui y figurent, 5 des cas étudiés illustrent le pouvoir du logiciel social sur la mobilisation et l’engagement de la main-d’œuvre.

L’une des histoires de ce rapport est axée sur l’impact d’un programme de reconnaissance informelle lancée par la Banque TD. Oui, c’est un programme que ma compagnie Pollstream a fourni et bien que je sois fier des résultats, je ne suis pas le seul à penser qu’il a eu un impact extraordinaire sur l’organisation. Vous pouvez entendre Wendy Arnott de la Banque TD expliquer l’impact du programme sur la compagnie lors d’une entrevue avec Shel Holtz. De plus récentes informations sur le programme ont montré une corrélation positive entre les succursales de banque engagées dans un programme de médias sociaux et leur indice d’expérience de la clientèle respectif. C’est puissant.

Est-ce que Twitter et Facebook ont leur place en entreprise ? C’est une question, mais pourquoi en faire une obsession alors que ce n’est qu'une seule question ? Je peux vous dire que de notre point de vue sur le monde, les compagnies qui n’adoptent pas de logiciel social auront beaucoup de difficulté à attirer et à conserver les talents à court terme. Les plus jeunes travailleurs du savoir auront un vaste choix quant à l’endroit où ils veulent passer leurs journées et une compagnie qui n’offre pas les outils qu’ils désirent sera ignorée. La capacité à gagner de la visibilité en milieu de travail est très importante pour les chercheurs d’emploi. Le logiciel social fournit aux employés une occasion d’être découverts en temps réel ce qui est très souhaitable. La question de plus en plus posée par les travailleurs du savoir est : "De quelle façon vos valeurs s’harmonisent-elles avec les miennes ?" Aucune harmonie, aucune embauche.

C’est amusant de constater que nous avons toujours ces débats lorsque les nouvelles technologies émergent. George Bernard Shaw disait "Le progrès est impossible sans changements, et ceux qui ne peuvent jamais changer d’avis, ne peuvent ni changer le monde ni se changer eux-mêmes."

Jamais paroles ne furent plus exactes !

What's Love Got to Do With It?

Vous avez manqué la webémission de Max Brown de l’Institut de gestion de la reconnaissance « What's Love Got to Do With It ? Communicating Respectful Recognition for Results » ?

Vous pourrez la revoir aux dates de reprise !

Ne manquez pas les choses à retenir de cette webémission :

• Les aspects d’une reconnaissance efficace- immédiate, spécifique et significative – selon la conception.
• Créez des expériences de reconnaissance cohérentes pour vos talents.
• Faites en sorte que les dirigeants expriment une reconnaissance significative.
• Multipliez les façons d’exprimer de la reconnaissance – en personne, électroniquement et non verbale.

Cliquez ici pour vous inscrire !

vendredi 20 novembre 2009

Mon ami Mark!

Une douzaine de critiques directes sont plus faciles à accepter qu’un faux compliment.
- Following the Equator, le Nouveau calendrier de Pudd'nhead Wilson

lundi 16 novembre 2009

Why Loyalty Matters: The Groundbreaking Approach to Rediscovering Happiness de Timothy Keiningham et Lerzan Aksoy avec Luke Williams

Lorsque j’ai découvert que je participerais à un groupe de discussion sur la façon dont la reconnaissance permet d’établir la loyauté avec le docteur Lerzan Aksoy, j’ai décidé d’acheter son livre, Why Loyalty Matters.

C’est une excellente lecture et je recommande le livre.

Le verso de toutes les cartes d’affaires de Rideau porte la mention suivante :
Je crois que les RELATIONS sont la clé du succès de notre vie personnelle et professionnelle.

Je crois aussi que la LOYAUTÉ est absolument essentielle pour que les relations prospèrent.

Le livre de Lerzan examine tous les aspects de la loyauté et nous montre pourquoi elle est si importante.

Le livre renferme le test LoyaltyAdvisor. C’est un test unique pour vous et vos amis. Il n’y a ni bonne ni mauvaise réponse.

Le test mesure votre réussite par rapport aux gens les plus heureux qui représentent 15 % de la population.

Vous pouvez aussi voir s’il y a un écart entre votre perception de votre propre loyauté et celle de vos amis.

J’ai beaucoup appris de ce livre y compris P2 R2... ce que je dois faire pour être plus loyal.

Consultez ce livre, c’est une excellente lecture.

dimanche 15 novembre 2009

Communiquer de la reconnaissance respectueuse pour de vrais résultats

Mercredi, le 10 Novembre, Rideau diffusera une webémission sur la reconnaissance qui sera animée par mon collègue, Max Brown, Vice-président d'Organizational Learning de l'Institut de gestion de la reconnaissance.

Communiquer efficacement la reconnaissance met de la vie et de la sincérité dans vos remerciements. La reconnaissance en personne est la plus motivante des initiatives de reconnaissance - elle doit être accomplie avec respect, sincérité, et cohérence pour de vrais résultats. Sans véritable objectif et stratégie, vos programmes languiront. Si vous voulez transformer votre programme en une solution véritable de reconnaissance qui prend de l’envol, ou si vous voulez améliorer l’efficacité de la direction, cette webémission est pour vous!

Max est un conférencier incroyable, et je suis sûr que vous ne serez pas déçu!

Alors inscrivez-vous dès maintenant!

vendredi 13 novembre 2009

Joignez-vous à la Communauté des professionnels de la reconnaissance des employés !

Je désire personnellement vous inviter à vous joindre à une nouvelle communauté de professionnels de la reconnaissance des employés.

La communauté des professionnels de la reconnaissance des employés lancée avec le soutien de David Zinger et animée par Roy Saunderson, CRP, est un nouveau réseau social créé afin de fournir une communauté de reconnaissance neutre et libre. Cette communauté dédiée à la reconnaissance des employés s’avère une véritable source pour les contributions actives entre membres.

Le site est déjà riche d’un contenu et de possibilités de réseautage à l’échelle mondiale.

Je vous encourage à vous joindre à cette communauté dédiée à la reconnaissance des employés et à inviter d’autres personnes à faire de même. Vous pouvez rejoindre notre communauté au : http://www.employeerecognitioncommunity.com

Peinture du fond du coeur


Église derrière le Louvre par Peter Hart

lundi 9 novembre 2009

La diversité culturelle et la reconnaissance


Selon notre dernier recensement, Rideau compte bel et bien 260 employés issus de divers milieux.

Voici quelques statistiques intéressantes fournies par notre Service des ressources humaines :

• 50,2 % de nos employés sont des femmes.
• 34,7 % de nos employés appartiennent à une minorité visible.
• Nous provenons de 39 nationalités différentes... des Américains aux Saint-Vincentais-et-Grenadins.
• Nous sommes basés à Montréal, la partie francophone du Canada. Ça veut dire que nous travaillons en français et en anglais. Comme nous comptons des employés venant de partout dans le monde, nombreux sont ceux qui parlent plusieurs langues au travail et à la maison. Selon le dernier décompte, nous parlons 23 langues, de l’arabe au vietnamien.
• Nous sommes aussi très axés sur la famille... il y a 26 familles différentes représentant 67 employés travaillant chez Rideau.
• Je n’ai pas les dernières statistiques sur ‘les meilleurs amis’ travaillant pour la compagnie, mais je sais que plus de 12 % des nouveaux employés ont été référés dans le cadre de notre programme de référence interne.

Je crois que la composition de Rideau nous donne un avantage concurrentiel majeur parce que nous devons tenir compte de la diversité culturelle à chaque jour. Plusieurs de nos clients doivent faire face à cette diversité mais souvent, dans de lointaines contrées. Chez Rideau, direct. J’aimerais expliquer comment nous abordons cette diversité culturelle à l’interne mais avant tout j’aimerais me tourner vers le Docteur Geert Hofstede.

Le Docteur Geert Hofstede est un Hollandais qui a réalisé des travaux d’envergure sur l'influence des différences culturelle en milieu de travail. J’ai pris connaissance des travaux du Dr. Hofstede lorsque j’ai suivi les cours d’accréditation de professionnel de la reconnaissance de la Recognition Professionals International. Mais j’ai réellement commencé à comprendre ses travaux lorsque j’ai lu “Outliers” de Malcom Gladwell. Ce livre décrit le sort tragique du vol 801 de la Korean Airlines qui s’est écrasé sur une montagne de l’Île de Guam. Monsieur Gladwell relate étape par étape tous les événements ayant mené à l’écrasement et valide la citation sur la page d’accueil du site du Docteur Hofstede...“La culture est plus souvent une source de conflit que de synergie. Les différences culturelles sont une nuisance au meilleur et souvent un désastre." Dans ce cas, 228 personnes ont perdu la vie.

En quelques lignes, Malcolm Gladwell décrit comment la culture coréenne a empêché le co-pilote et le navigateur de dire au pilote ce qu’ils pensaient réellement que ce dernier devrait faire pour éviter le désastre. Ce que j’ai trouvé de fascinant c'est la façon dont la compagnie Korean Air a mis les travaux du Docteur Hofstede en pratique après l’écrasement pour éviter que ça se répète et pour améliorer la sécurité. La compagnie a recherché un moyen de motiver l’équipage à parler librement sans s’inquiéter des vieilles normes culturelles. Le moyen trouvé fut l’anglais. Korean Air insista alors pour que tout le monde parle anglais dans le poste de pilotage. Ainsi tout le personnel est sorti de sa ‘zone de confort coréenne’ et a pu parler librement.

La langue est un des moyens utilisés chez Rideau pour aborder la diversité culturelle.

L’autre c’est la reconnaissance. Voici quelques-unes de nos activités...
• Nous reconnaissons l’anniversaire de service annuel de tout le monde. Peu importe que vous comptiez 4 ou 26 ans de service. Lors de l’anniversaire de service d’une personne, peu importe le nombre d’années, le service au sein duquel vous travaillez, les fonctions, la nationalité, le lieu de travail, la langue ou le poste occupé chez Rideau, vous êtes certain que plusieurs personnes vous féliciteront.
• Nous faisons la même chose pour les anniversaires de naissance.
• Nous organisons des visites Platine de Rideau. Il n’est pas rare de voir d’anciens et de nouveaux employés se côtoyer lors ces visites. J’ai eu une fois, lors d’une visite Platine, un ancien employé comptant 18 ans de service assis à côté du balayeur qui ne travaillait que depuis quatre semaines chez Rideau (Aujourd’hui, ce balayeur est une vedette de notre Centre d’appels).

La reconnaissance est notre meilleur moyen de motiver…

Respectez tout le monde. Appréciez chaque personne pour ce qu’elle est. Reconnaissez-la pour ce qu’elle fait à chaque jour.

La beauté de la reconnaissance c’est qu’elle peut être exprimée sur le plan local, national et international.

Acceptez et célébrez la diversité. Utilisez la reconnaissance pour la niveler vers le haut.

vendredi 6 novembre 2009

Reconnaissance du fond du coeur

Employeurs Web a publié mon nouvel article sur le réseautage social de la reconnaissance. Cliquez ici pour en apprendre davantage sur la manière d'utiliser un réseau social afin d'améliorer votre programme de reconnaissance!

Mon ami Mark!

Un peu de sagesse Twain pour votre vendredi...
Nous sommes unanimes dans la fierté que nous éprouvons lorsqu’on reçoit des compliments sincères, lorsqu’on nous accorde des distinctions, lorsqu’on nous porte attention. Personne, de l’empereur aux sujets, n’est fait autrement. Est-ce que je parle des attentions accordées par le tout puissant ? Non, je ne parle que des attentions flatteuses; acceptez-les peu importe d’où elles viennent. Ne méprisons aucune source d’attention - aucune source n’est assez modeste pour ça.
- "Does the Race of Man Love a Lord?"

mercredi 4 novembre 2009

Évitez le bris en reconnaissance !

Le bris est un terme utilisé pour indiquer que des cartes-cadeaux ont été vendues mais jamais échangées. Les revenus suite au bris sont très rentables car les compagnies ne fournissent aucun bien ni service pour les cartes-cadeaux non échangées. Le bris est aussi un facteur dans plusieurs programmes basés sur des points lorsqu'une compagnie paie pour des points d'avance, toutefois ce blogue traite des cartes-cadeaux.

Le bris relatif aux cartes-cadeaux est majeur…

TowerGroup, une firme de recherche en services financiers estime que 10 % ou 8 G$ des 80 G$ dépensés pour les cartes-cadeaux en 2006 ne seront jamais échangés ! Selon Consumer Reports le montant serait encore plus élevé ! On y rapporte qu'en 2005, 19 % des gens ayant reçu des cartes-cadeaux n'ont jamais utilisé ces cartes.

Certains détaillants qui vendent des cartes-cadeaux ont aussi imposé des conditions comme des dates d'expiration ou des frais mensuels de service qui réduisent périodiquement la valeur de la carte-cadeau. Cependant, plusieurs États ont légiféré (ou planifient de le faire) afin de rendre illégale l'imposition de dates d'expiration ou de frais de toute sorte sur les cartes-cadeaux.

En quoi cela affecte-t-il votre programme de reconnaissance et de récompense ?

Bien, si vous offrez des cartes-cadeaux en guise de récompense, soyez conscient que plusieurs récipiendaires ne les utiliseront jamais ! J'appelle ça un "bris de récompense". Et bien que ce ne soit pas une bonne chose au moins le récipiendaire a la "valeur" de la carte-cadeau entre les mains et c'est à lui de l'utiliser ou non.

À mon avis le "bris de reconnaissance" est pire.

Ce sont des manœuvres frauduleuses par lesquelles les fournisseurs envoient des "certificats de récompense de reconnaissance" qui peuvent être échangés contre une variété de cartes-cadeaux. Ces "certificats de récompense de reconnaissance" ont souvent une date d'expiration...habituellement d'un an. Tandis que la législation semble plus trouble quant aux "certificats de récompense de reconnaissance"....une chose est claire...ces fournisseurs espèrent que les récipiendaires n'échangeront jamais ces certificats contre des cartes-cadeaux !

Je trouve ironique que ces "fournisseurs" se donnent le titre "d'experts de la reconnaissance" car dans le fond ils ne veulent vraiment pas que les récipiendaires réclament leurs "récompenses" !

Nous avons étudié plusieurs cas de compagnies qui se plaignaient de ne recevoir aucun rapport de ces fournisseurs. Pas surprenant ! Pourquoi ces fournisseurs révéleraient-ils le fait que plusieurs "certificats de récompense de reconnaissance" n'ont pas été échangés.

On appelle ça un bris de reconnaissance ! Évitez-le !

lundi 2 novembre 2009

Encore des façons novatrices pour gagner la loyauté des employés

La semaine dernière j’ai eu le plaisir de participer à une webémission avec Will Ng, Éditeur en chef de l’Incentive Magazine et du Docteur Lerzan Aksoy, co-autheur de “Why Loyalty Matters.”

Nous avons discuté des complexités de la loyauté, de la reconnaissance et de l’engagement des employés. L’impact que vous pouvez avoir sur vos employés en approfondissant les relations entre employés et gestionnaires est extraordinaire.

Vous pouvez télécharger gratuitement la webémission en ligne. Vous devez vous inscrire d’abord puis vous pourrez naviguer à travers la conférence virtuelle vers les pages de présentation. Ou une fois en ligne, cliquez ici.

vendredi 30 octobre 2009

Combat contre le cancer

Au cas où vous l'avez manqué, plus tôt cette semaine, nous avons eu un événement très spécial chez Rideau: Combat contre le cancer. Nos employés ont recueilli plus de 35000 $ pour la Société canadienne du cancer.

Voici une petite vidéo de l'événement avec comme invité spécial Jean Béliveau!

Ou cliquez ici pour en savoir plus.

Peinture du fond du coeur

Sacré Coeur
J'ai peint ceci durant un voyage à Paris l'an dernier avec mon épouse Francine. C'était un dimanche après-midi et la foule assise sur les marches écoutait un artiste qui jouait les grands succès anglophones des années 70.

jeudi 29 octobre 2009

Combat contre le cancer

Ma mère Phyllis, reçu son premier diagnostic de cancer en novembre 1996.

Elle était en Floride et bien qu’elle fût assurée, son médecin Floridien de longue date recommanda son retour au Canada de sorte que notre famille pourrait la soutenir ainsi que mon père dans ses combats à venir. Maman fut opérée deux semaines plus tard et vécu des mois difficiles mais elle survécu à cette épreuve.

Malheureusement le cancer réapparu en début 2000. Cette fois elle ne fut pas aussi chanceuse. Elle est morte le 27 octobre dans un petit hôpital du nord de Montréal entourée de mon père, ma sœur, deux frères, un ami de longue date de la famille et moi. Son décès permis à notre famille qui était déjà proche de l’être davantage. À chaque année, en cette période, nous nous réunissons, levons un verre et racontons des histoires drôles de Philly.

Il y a quatre ans, lors du cinquième anniversaire de son départ, nous avons décidé de participer à la campagne Raser pour sauver qui permet d’amasser des fonds pour la recherche sur le cancer. Nos employés, fournisseurs et clients ont ramassé plus de 11 000 $ pour cette noble cause et mon meilleur ami Cam Ferguson, mon frère Stephen et moi ainsi que mes deux fils Jonathan et Jordan avons rasé nos cheveux pour la cause.

Nous avons décidé de répéter l’expérience cette année. Encore une fois le jour anniversaire du décès de ma mère. La seule différence c’est que nous avons invité tous nos employés à participer. Hier après-midi, près de 20 d’entre nous ont participé à notre événement bien à nous : Combat contre le cancer.

Mais ce qu’il y a de plus important encore c’est que nous avons amassé plus de 35 000 $ !


(Cliquez ici pour voir plus de photos de l’événement.)

Je désire remercier tous ceux qui ont participé à l’événement en se faisant raser les cheveux. Je veux remercier tous mes employés, fournisseurs, clients et amis de Rideau qui ont contribué à l’événement. Je désire aussi remercier mon bon ami et une légende du hockey Jean Béliveau pour sa visite et le soutien dont il a fait preuve envers nous tous. Jean a combattu le cancer en même temps que ma mère de sorte que cette participation était particulièrement bienvenue.

Ensemble nous pouvons vaincre cette terrible maladie qui a emporté plusieurs de nos bien-aimés.

lundi 26 octobre 2009

RX Reconnaissance 2010 : Des employés engagés pour la reprise économique

Un de mes accomplissements professionnels dont je suis le plus fier fut la création du Recognition Council. Au cours des deux dernières années j’ai eu le privilège de servir à titre de Président de ce conseil qui est un groupe stratégique de l'industrie (SIG) au sein de l’Incentive Marketing Association (IMA).

Le Recognition Council a été formé afin de sensibiliser sur les façons dont la reconnaissance et les récompenses peuvent aider à mieux performer en affaires. Nous nous consacrons à éduquer sur les avantages de la reconnaissance et des récompenses ainsi qu'à les promouvoir auprès de la communauté internationale des affaires.

Aujourd’hui, le Conseil compte des membres issus de 30 compagnies leaders de l’industrie de la reconnaissance et des récompenses.

Nous venons de publier notre second livre blanc et il sort à temps tandis que les organisations travaillent sur leurs plans et budgets 2010. Le livre blanc intitulé : “2010 Recognition RX: Engaging Employees for Economic Recovery” aidera votre organisation à déterminer comment les programmes de reconnaissance et les budgets devraient être planifiés pour avoir un impact maximal. Je vous encourage à lire ce livre qui regorge de faits.

Cliquez ici pour d'autres ressources du conseil.

Ce serait négligent de ma part de ne pas remercier publiquement Susan Adams, Présidente du contenu éducatif de notre Conseil. Tandis que plusieurs personnes travaillaient sur nos livres blancs, Susan agissait à titre d'organisatrice en chef et nous lui devons tous une grande reconnaissance.

En passant… Sue a probablement le titre le plus génial que je connaisse...elle est la "Directrice des solutions de Grande évasion" chez Dittman Incentive Marketing ! Et non… ça ne veut pas dire que les détenus s'évadent de prison ! Si vous désirez en apprendre davantage sur Dittman Incentive Marketing et sur les solutions de Grande Évasion de Susan consultez cet article récent publié sur Incentivemag.com.

Bonne lecture !

vendredi 23 octobre 2009

HRO World Europe - 18-19 novembre Londres

Le mercredi, je vous ai parlé d'une conférence à Paris, alors lorsque vous serez dans le coin, faites un saut à Londres et essayez de participer au sommet HRO World Europe.

Il se déroulera les 18 et 19 novembre à Londres.

Mon bon ami et membre du Conseil de Rideau Jay Whitehead avec ses collègues se retrouveront parmi plus de 250 cadres supérieurs qui désirent transformer leurs activités relatives aux ressources humaines.

Un autre bon ami, Christophe Laval CRP, livrera un discours-thème intitulé : “The Intersection of 3 European HR Megatrends: Performance Management, HR Outsourcing, and Recognition at Work”. Christophe est membre comme moi du Conseil des directeurs de la Recognition Professionals International et il est Président et Directeur général de VPHR . Il a récemment écrit “Plaidoyer pour la reconnaissance au travail". Sa compagnie VPHR, est la première entreprise européenne entièrement dédiée à la reconnaissance au travail.

Le thème et le sommet devraient être très instructifs !

Bonne chance Christophe !

Mon ami Mark!

Quelques mots de mon ami Mark Twain...
On ne devrait jamais complimenter une personne puis la critiquer par la suite. Il vaut mieux la complimenter maintenant puis la critiquer la semaine d’après.
- Inscription sur une feuille qui virevoltait dans les Aventure de Huckleberry Finn de la collection L. M. Powers. Parue dans le Kansas City Star, 10 avril 1911, p. 6.

mercredi 21 octobre 2009

La reconnaissance à Paris

Si vous êtes à Paris le 10 novembre prochain, vous devriez venir me rejoindre au colloque international VPHR sur la reconnaissance en milieu de travail !
Quelques-uns de mes collègues parleront de l’impact de la reconnaissance en milieu de travail.

Je dois toutefois vous prévenir que je ferai ma présentation en français. Et cet avertissement ne s’adresse pas uniquement aux participants anglophones - mais aussi aux francophones ! À rire aux éclats !

Si vous êtes prêt à m’endurer, je vous invite à discuter la reconnaissance à la parisienne !

Cliquez ici pour plus d’info !

vendredi 16 octobre 2009

Recommencer après 42 ans !


Selon la Recognition Professionals International, la deuxième meilleure pratique est de faire en sorte que la haute direction participe à la stratégie de reconnaissance de votre compagnie. En fait, la Recognition Professionals International juge que c’est tellement important qu’il s’agit d’un élément essentiel d'un programme des meilleures pratiques.

Chez Rideau, nous sommes très chanceux. L’architecte de notre stratégie de reconnaissance est Roy Saunderson. Roy est le Président et fondateur de l’Institut de gestion de la reconnaissance, une division de Rideau. Mon équipe de la haute direction, dont plusieurs sont des professionnels agréés de la reconnaissance soutient notre stratégie et donne l’exemple.

Et, je suis fier de dire que Rideau va encore plus loin. Notre Conseil des directeurs aide la direction à donner le ton. Par exemple, l’été dernier, lors de notre cérémonie annuelle de remise de récompenses de service, tous les membres du Conseil des directeurs étaient présents. En effet, certains ont même été reconnus pour leurs années de service au sein de la compagnie. Jay Whitehead et Brenna Garratt ont célébré leur anniversaire de service respectif. Gord Feeney et le Gouverneur Arne Carlson, notre Président et Vice-président ont célébré chacun leur cinquième anniversaire de service et ont participé à notre cérémonie à titre de récipiendaires.

J’ai bien rigolé avec Gord Feeney… il a travaillé pendant 42 ans pour RBC Groupe financier, la plus grande entreprise du Canada comptant 80 000 employés. Gord est devenu le numéro deux à titre de Vice-président de la banque. Gord porte toujours fièrement son épinglette de 40 ans de service auprès de RBC. L’épinglette sertie de quatre diamants est superbe. Évidemment, lorsque Gord a reçu son épinglette pour ses 5 années de service chez Rideau, il a retiré celle de RBC pour la remplacer par celle de Rideau sur laquelle n’est serti qu’un seul rubis. J’ai dit à Gord de ne pas s’en faire... dans 35 ans son épinglette de Rideau serait sertie de 4 diamants !

Sérieusement, faire en sorte de vendre l’idée à la direction est une chose essentielle. Mais si vous pouvez la vendre à votre Conseil, ça devient un puissant exemple !

Peinture du fond du coeur de la semaine

Mémoires d'España

mercredi 14 octobre 2009

Des façons novatrices pour gagner la loyauté des employés

Le 21 octobre à 14 h, je ferai une présentation en compagnie d’un groupe intéressant d’experts sur Virtual Incentive World.

Nous discuterons des moyens à prendre pour gagner la loyauté des employés. Mes collègues experts seront Will Ng, Éditeur de l’Incentive Magazine Managing et Lerzan Aksoy, co-auteur de « Why Loyalty Matters », un excellent livre que je lis présentement !

Au plaisir de vous voir virtuellement !

Inscrivez-vous ici
!

mardi 13 octobre 2009

Voyons ce qu’en dit la déclaration des droits !

J’adore l’histoire parce qu’elle nous en apprend beaucoup. Non seulement sur le passé mais sur le présent et l’avenir... qui n’a pas entendu l’expression «l’histoire se répète» ?

L’un des documents les plus intéressants parmi ceux créés en Amérique fut la déclaration des droits. Elle renferme les 10 premiers amendements de la constitution américaine et fut introduite par James Madison. Elle entra en vigueur en 1791 et devint un modèle pour plusieurs autres pays qui signèrent des déclarations sur les droits de l’homme.

Ce qui m’a fait penser...il doit y avoir une déclaration des droits sur la reconnaissance en milieu de travail.

Ma déclaration des droits sur la reconnaissance commencerait avec un préambule stipulant que tous les employés devraient être traités avec respect et dignité en milieu de travail.

Cette déclaration stipulerait que les employés devraient être appréciés pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font.

Elle affirmerait que la reconnaissance ne devrait pas être laissée aux caprices discrétionnaires des gestionnaires.

Elle stipulerait que la reconnaissance en milieu de travail est un «droit» pour tous les employés!

vendredi 9 octobre 2009

Reconnaissance du fond du coeur

Le site Web des employeurs a publié mon nouvel article sur les salons professionnels. Cliquez ici pour apprendre comment tirer partie de ces congrès !

Mon ami Mark!

Encore plus sur la reconnaissance de la part de Mark ...

Exprimer un compliment gracieusement est un talent en soi et faire en sorte qu’il sonne vrai est un art par soi-même.

- Discours "I Was Born for a Savage", 1907

mercredi 7 octobre 2009

Le baiser de la mort de la reconnaissance

Plus de 90 % des compagnies nord-américaines ont des programmes de reconnaissance. Pourtant 60 % de tous les employés n’ont pas l’impression d’être reconnus.

Ces statistiques parlent de volumes et mettent sérieusement en cause l’approche traditionnelle de la reconnaissance en milieu de travail.

Je crois que la plupart des compagnies se préoccupent trop du genre de récompenses qu’elles offrent par opposition à la façon de les offrir.

Comprenez-moi bien. Les récompenses sont très importantes. Cependant, on doit y penser de façon stratégique. Elles doivent être le complément de la reconnaissance exprimée. Souvent, les compagnies offriront des récompenses inadéquates par rapport aux objectifs du programme.

Qu’est-ce qui pousse les compagnies à inclure des récompenses inappropriées dans leur programme ? Souvent il s’agit simplement d’employés qui font pression sur la haute direction. Les administrateurs de programme devraient prendre un recul par rapport aux demandes de récompenses bâclées en expliquant la stratégie derrière leur stratégie de reconnaissance. Assurez-vous que la haute direction comprend que son travail consiste à expliquer la raison pour laquelle ces récompenses sont remises en tout premier lieu.

Ne laissez pas des récompenses inappropriées devenir votre baiser de la mort de la reconnaissance !

lundi 5 octobre 2009

HRO Today – Accroître le moral l’emporte sur les récompenses monétaires

À chaque année la revue HRO Today consacre un numéro complet à la reconnaissance et les récompenses.

L'un des principaux articles du numéro de cette année traite de la façon dont la reconnaissance est cruciale pour créer et améliorer le moral.

On y explique également comment la reconnaissance peut éclipser les récompenses monétaires. Rappelez-vous que vous devez avoir un lien au niveau individuel et émotionnel avec le récipiendaire afin que la reconnaissance exprimée soit perçue comme elle devrait l’être : les récompenses en comptant reflètent rarement l’aspect personnel primordial à une reconnaissance efficace.

Cependant, vous devriez vous inscrire pour lire cette histoire, mais c'est gratuit et ça en vaut la peine !Inscrivez-vous et lisez l’article au ici.

vendredi 2 octobre 2009

Nouvelle peinture de la semaine

Zoe's Paw par Peter Hart

lundi 28 septembre 2009

La formation sur la reconnaissance est inutile…

Oui, vous avez bien lu ! Mais laissez-moi vous expliquer.

Il s’agit de mettre le ‘pourquoi’ devant le ‘comment’ en termes de paradigme de reconnaissance.

Trop souvent nous formons les directeurs sur ‘comment’ reconnaître les employés avant qu’ils ne saisissent vraiment ‘pourquoi’ ils le font en tout premier lieu !

En d’autres mots, nous devons éduquer les directeurs sur l’importance de la reconnaissance avant de les former sur la façon de reconnaître.

Selon mon expérience, il y a trois grandes catégories d’éducation sur la reconnaissance :

1. Il y a les directeurs qui comprennent les raisons de reconnaître et ont vraiment tout saisi. La reconnaissance fait partie de leur quotidien.
2. La deuxième catégorie est composée de directeurs qui reconnaissent les autres en milieu de travail sans en avoir pleinement conscience.
3. Le dernier groupe est composé de directeurs qui ne reconnaissent pas les autres. Ils croient que la reconnaissance n’a pas de valeur et évoquent plusieurs raisons pour ne pas utiliser cet outil stratégique. Bien souvent, ils ne comprennent pas pourquoi la reconnaissance est si importante parce qu’ils n’ont jamais eu d’expérience personnelle en ce sens.

Évidemment, l’éducation sur la reconnaissance doit être conçue sur mesure afin de répondre aux besoins de chaque groupe mais il est IMPÉRATIF d’éduquer les directeurs sur les raisons pour lesquelles la reconnaissance est importante avant de les former sur la façon de l’exprimer.

Je pense que les initiatives de reconnaissance échouent souvent parce que nous avons formé trop de directeurs sur la façon de passer au travers sans qu’ils ne saisissent bien les véritables raisons de le faire. La compréhension mène à la Véritable reconnaissance...une phrase énoncée par mon ami et collègue Roy Saunderson il y a plusieurs années.

samedi 26 septembre 2009

Mon ami Mark!

Les sages mots de Mark Twain de cette semaine...

Évitez de faire un compliment et de demander une faveur en même temps. Un compliment intéressé n’a aucune valeur. - Notebook, 1902-1903

lundi 21 septembre 2009

La liste Baker's Dozen - encore une fois!

Venez voir La liste “Baker’s Dozen” de HRO Today. Rideau s’y classe pour la sixième année consécutive!

Je suis si fier de mes 250+ collègues qui fournissent continuellement de la reconnaissance innovatrice envers les clients et les récipiendaires, année après année après année!

Vous pouvez consulter la liste ici.

vendredi 18 septembre 2009

L’impact de la reconnaissance sur le bon travail

Mon bon ami et collègue, membre de la Recognition Professionals International Board, Dee Hansford a récemment participé à l’émission de Brian Moffitt "Good Work NOW!". L’émission de Brian est consacrée à la recherche et à la création d’un bon travail.

La reconnaissance en milieu de travail joue un rôle important dans l’encouragement et la reconnaissance d’un bon travail.

Vous pouvez voir un clip de Dee et Brian ici. Vous pouvez aussi regarder l’interview de Dee de 30 minutes ici.

Dee a fait un bon travail en expliquant pourquoi la reconnaissance est importante de nos jours.

Bon visionnement !

Peinture de la semaine

Parc Monceau



vendredi 11 septembre 2009

Mon ami Mark!

Les sages mots de Mark Twain de cette semaine...

Formuler un compliment de circonstance est l’un des rares dons humains et l’exprimer en est un autre - Mark Twain's Autobiography

jeudi 10 septembre 2009

La reconnaissance est gratuite !

Récemment j’ai lu un article de Malcolm Gladwell dans The New Yorker qui s’intitulait : “Priced to Sell – Is free the future?” (6 et 13 juillet 2009)

Malcolm Gladwell est l’un de mes auteurs préférés.“Blink,” “The Tipping Point” et plus récemment “Outliers” ont été des succès de librairie et des lectures très intéressantes.

Son article rédigé pour The New Yorker expliquait les négociations ardues du journal Dallas Morning News lorsqu’on a tenté de mettre son contenu sous licence afin de l’utiliser sur le lecteur de livre électronique Kindle d’Amazon. En bref, Amazon voulait 70 % des frais d’abonnement et le droit de publier à nouveau le contenu du journal pour n’importe quel appareil portable.

Dans l’article on donnait plusieurs exemples pour dire à quel point le prix du contenu est à la baisse et à quel point le terme «gratuit» est en voie de devenir la nouvelle norme. Gladwell a tout à fait raison et il y a une leçon à tirer pour ceux parmi nous qui œuvrent dans l’industrie de la reconnaissance.

Trop souvent la reconnaissance est perçue comme une dépense...mais c’est faux.

Exprimer de la gratitude et de la reconnaissance par des mots significatifs ne coûte RIEN ! On devrait utiliser les mots généreusement et en temps opportun pour faire l’éloge d’efforts et de réalisations spécifiques.

N’oubliez pas... la reconnaissance est gratuite !!!